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" Les filles, la campagne sera votre chance ", ont dit les parents. Catherine Meurisse a donc passé son enfance au grand air. Sous ses yeux, un chantier : une vieille maison à rénover, des arbres à planter, un jardin à créer. Des rêves à cultiver. On laboure, on bouture, on plante un rosier provenant de chez Montaigne, un figuier de chez Rabelais. On observe le tumulte du monde ù les mutations de l'agriculture, la périurbanisation du monde rural...
Avec l'humour qu'on lui connaît, Catherine Meurisse compose un poème malicieux dédié à la campagne, où a germé sa vocation de dessinatrice. Les Grands Espaces, comme La Légèreté, son précédent album, l'attestent : la nature et l'art ù tout ce qui pousse, tout ce qui vit envers et contre tout ù seront une chance.

Catherine Meurisse a résidé plusieurs mois à la Villa Kujoyama, une résidence d'artistes située à Kyoto. Cherchant à renouveler son inspiration, elle s'est immergée dans les paysages japonais. Un an plus tard, elle séjournait de nouveau au Japon, quand le typhon Hagibis dévastait une partie du pays. De ces deux voyages, placés sous le signe de la nature, tour à tour muse et dévastatrice, est né l'album La Jeune femme et la mer.
" Je voudrais peindre la nature ", affirme la dessinatrice française à peine atterrie sur le sol japonais. Mais la nature ne sait pas prendre la pose. Elle se transforme, nous entoure, nous subjugue. Sur son chemin, comme un miroir, un peintre japonais, qui, lui, voudrait " peindre une femme. " Quelle femme ? Nami, la jeune femme de l'auberge thermale où les deux artistes vont séjourner ? Nami, mystérieuse, n'est pas un modèle facile.
Elle semble liée aux éléments naturels : elle sait lire l'arrivée d'un typhon dans les plis de la mer. Pour décrypter les signes dans ce décor rural du sud de l'archipel, un tanuki effronté, animal mythologique incontournable de la culture nippone, surgit au gré des déambulations de nos deux amis artistes. Dans une nature magnifiquement retranscrite par un trait de plume précis, où plane l'ombre d'Hokusaï et des maîtres de l'estampe, Catherine Meurisse propose avec "La Jeune femme et la mer" un récit initiatique qui questionne la place de l'Homme dans la nature et le recours à l'art pour saisir les paysages qui disparaissent.

Dans une petite ville du Wisconsin où vivants et morts-vivants cohabitent tant bien que mal, Dana Cypress, officier de police, enquête sur un crime violent.

A Wausau, dans le Wisconsin, les morts reviennent à la vie. L'officier de police Dana Cypress se démène entre les fanatiques religieux, les médias et les agences gouvernementales qui placent la ville en quarantaine. Avec sa soeur, elle fuit un assassin amish, tandis que le gouverneur militaire révèle ses plans pour mettre un terme à la situation.

A Wausau, petite ville du Wisconsin où se côtoient vivants et zombies, des serial killers font parler d'eux, tandis qu'un être fantomatique erre toujours dans les bois.

Dana est toujours à la recherche de l'assassin de sa soeur, mais dans ce monde où les morts ressuscitent, les conflits d'intérêt, qu'ils soient politiques ou religieux, s'intensifient. Il est difficile de s'en tenir à l'écart.

A Wausau, la journaliste May Tao a été assassinée par un tueur en série. Dana Cypress est sur sa piste, tout comme M.A. Cypress, sa soeur, une ranimée.

Lancée sur la piste des trafiquants de chair humaine réanimée, Dana sort de la zone de quarantaine. Elle se rend à New York, sur les traces des dealers et du meurtrier qui les pourchasse.

A Wausau, petite ville du Wisconsin où se côtoient vivants et zombies, Dana pourchasse des tueurs en série et tente de découvrir le meurtrier de sa soeur. Cette dernière poursuit une créature fantomatique qui hante une petite fille.