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A travers les illustrations figurant les étapes d'un même tableau qui s'enrichit au fur et à mesure des pages, le lecteur suit la quête des villageois : ils recherchent Babak dont la jument va mettre bas. Ils cherchent en vain car en fait, c'est lui qui peint le tableau.

Ce conte sarde, écologiste avant l'heure, a été popularisé par le penseur Antonio Gramsci. C'est l'histoire d'un bol de lait posé près du lit d'un enfant, en Sardaigne. Une souris gourmande s'en régale, l'enfant pleure de faim... La souris embêtée supplie les chèvres de remplacer le lait. Mais leurs mamelles sont vides, car elles n'ont plus rien à manger. Même la plus haute montagne de Sardaigne a été pillée...
On lui a pris ses pierres, ses arbres et ses animaux pour construire des palais, et des jardins autour des palais ! Il faudra toute la conviction d'un petit rongeur et l'énergie des enfants pour que la montagne retrouve confiance en l'humain. La nature reprendra ses droits et pourra donner le meilleur d'elle-même : de l'eau, de l'herbe, des chèvres, et du lait pour les enfants !

Une promenade joyeuse au pays de la danse, de la musique, de la peinture, du théâtre... pour découvrir les mille belles émotions qui se cachent derrière le mot culture. Et pour rêver que tous les enfants du monde puissent un jour grandir en Liberté, nourris du travail des savants, des saltimbanques et des artistes.

La petite Lydie a une manière bien à elle de faire la soupe : un grand troc à travers la forêt, où tout s'échange, même un collier en crottes de lapin ! Bien caché, l'ours gourmand n'en perd pas une miette. Il aimerait tellement participer lui aussi à cet appétissant dîner solidaire...

C'étaient des temps difficiles pour l'île et pour le peuple de Bretagne, ceux que l'on appelait Bretons mais qui se nommaient eux-mêmes Kymry. De partout surgissaient les ennemis, Lloegriens, Pictes, Scots ou Gaëls, venus d'au-delà des mers, qui convoitaient leur terre et ne pensaient qu'à piller et ravager. Dans leur cœur, les Krymry appelaient un homme capable de se dresser face à l'ennemi, un homme capable de faire revivre l'époque où ils régnaient sans partage sur leur île bien-aimée.
Ce guerrier allait bientôt voir le jour, et avec lui viendraient des temps merveilleux qui marqueraient éternellement la mémoire des hommes, avant de disparaître à jamais.

Myrddin, libéré de la folie par son ami Taliesin, reprend la route pour soulager les maux du royaume de Bretagne, désormais divisé entre le pays kymry et celui de Lloegr. Il rencontre le tout jeune Arthur, fils adoptif de Kyumur, qui, quelques années plus tard, ira trouver la gloire en compagnie de son demi-frère, Kei. Symbole de sa force et de son pouvoir, il s'empare de l'épée Kalevwlch (Excalibur).

C'étaient des temps difficiles pour l'île et pour le peuple de Bretagne, ceux que l'on appelait Bretons mais qui se nommaient eux-mêmes Kymry. De partout surgissaient les ennemis, Lloegriens, Pictes, Scots ou Gaëls, venus au-delà des mers, qui convoitaient leur terre et ne pensaient qu'à piller et ravager. Dans leur cœur, les Kymry appelaient un homme capable de se dresser face à l'ennemi, un homme capable de faire revivre l'époque où ils régnaient sans partage sur leur île bien-aimée.
Ce guerrier allait bientôt voir le jour, et avec lui viendraient des temps merveilleux qui marqueraient éternellement la mémoire des hommes, avant de disparaître à jamais.

C'étaient des temps difficiles pour l'île et pour le peuple de Bretagne, ceux que l'on appelaient Bretons mais qui se nommaient Kymry. De partout surgissaient les ennemis, Lloegriens, Pictes, Scots ou Gaëls, venus d'au-delà des mers, qui convoitaient leurs terre et ne pensaient qu'à piller et ravager. Dans leur cœur, les Kymry appelaient un homme capable de se dresser face à l'ennemi, un homme capable de faire revivre l'époque où ils régnaient sans partage sur leur île bien-aimée.
Ce guerrier allait bientôt voir le jour, et avec lui viendraient des temps merveilleux qui marqueraient éternellement la mémoire des hommes, avant de disparaître à jamais.