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Les eaux du Doubs charrient toutes sortes de débris et parfois même des cadavres.
Besançon vit des heures difficiles en cette fin d'hiver.
Quand les échecs deviennent plus qu'un simple jeu et qu'un damné décide de franchir la ligne blanche afin de jouer "pour le sang", il faut plus qu'une puissance policière traditionnelle pour déchiffrer une stratégie minutieusement réfléchie.
Georges Clément, Grand Maître des échecs, troublé sur la fin de sa vie par le génie d'un démon, croisera le chemin ténébreux de deux hommes, l'un policier, l'autre assassin, soudainement liés par une partie sans hasard et sans merci.
Programmée dans les moindres détails, elle les mènera jusqu'au bout de leur orgueil.
Le jeu est sans pitié pour celui qui ne veut admettre sa probable défaite, car il dévoilera son âme.
Un homme, aussi doux soit-il en société, deviendra impitoyable lorsqu'il jouera, si telle est sa nature.

Le Chat est lucide: comme il dit, "moi, dans la BD, j'aurais jamais pu faire dessinateur. C'est pour ça que j'ai choisi héros." Il est aussi prévoyant : grâce à lui, on sait désormais qu'il est très utile d'avoir chez soi un métier à tisser. "Pour les jours où on est pris d'une furieuse envie de tisser." C'est malin... Il est également fin observateur: il a bien compris qu'"un myope qui lit sur les lèvres entend mieux lorsqu'il porte ses lunettes.

Le livre polémique « Les Alsachiens », ou l’Alsace caricaturée par un artiste qui à du Chien...
« Conscient de posséder une technique de gouache irréprochable, Michel CHARVET, un rien "cabotin", s’est essayé à la peinture animalière. Volontairement traités de façon humoristique, ses portraits canins, plus "humains" que nature sont d’un réalisme saisissant. »

Le présent ouvrage constitue l'oeuvre testament de Georges Klein, considéré comme le meilleur connaisseur de l'art populaire d'Alsace. Rédigé par l'auteur avant sondécés en 2001, il a été enrichi d'une très importante iconographie provenant de ses collections: 400 illustrations, sélectionnées parmi plus de 3000 photographies ou documents originaux réunis au long de plusieurs décennies. Il constitue ainsi une somme, jusqu'ici inégalée, des objets du quotidien ou des parures de fêtes qui accompagnaient une existence dans les campagnes d'Alsace.

C'étaient des temps difficiles pour l'île et pour le peuple de Bretagne, ceux que l'on appelait Bretons mais qui se nommaient eux-mêmes Kymry. De partout surgissaient les ennemis, Lloegriens, Pictes, Scots ou Gaëls, venus d'au-delà des mers, qui convoitaient leur terre et ne pensaient qu'à piller et ravager. Dans leur cœur, les Krymry appelaient un homme capable de se dresser face à l'ennemi, un homme capable de faire revivre l'époque où ils régnaient sans partage sur leur île bien-aimée.
Ce guerrier allait bientôt voir le jour, et avec lui viendraient des temps merveilleux qui marqueraient éternellement la mémoire des hommes, avant de disparaître à jamais.

Myrddin, libéré de la folie par son ami Taliesin, reprend la route pour soulager les maux du royaume de Bretagne, désormais divisé entre le pays kymry et celui de Lloegr. Il rencontre le tout jeune Arthur, fils adoptif de Kyumur, qui, quelques années plus tard, ira trouver la gloire en compagnie de son demi-frère, Kei. Symbole de sa force et de son pouvoir, il s'empare de l'épée Kalevwlch (Excalibur).

C'étaient des temps difficiles pour l'île et pour le peuple de Bretagne, ceux que l'on appelait Bretons mais qui se nommaient eux-mêmes Kymry. De partout surgissaient les ennemis, Lloegriens, Pictes, Scots ou Gaëls, venus au-delà des mers, qui convoitaient leur terre et ne pensaient qu'à piller et ravager. Dans leur cœur, les Kymry appelaient un homme capable de se dresser face à l'ennemi, un homme capable de faire revivre l'époque où ils régnaient sans partage sur leur île bien-aimée.
Ce guerrier allait bientôt voir le jour, et avec lui viendraient des temps merveilleux qui marqueraient éternellement la mémoire des hommes, avant de disparaître à jamais.